Maeva Et Aïcha : Premier Trio

Après avoir fait découvrir le plaisir du sexe à ma nièce et à ma copine (voir Maeva et Aïcha : la découverte), je les ai vues revenir ensemble pour poursuivre leur initiation en trio


Le lendemain, à 18h00 tapantes, elles étaient là quand je suis arrivé du travail. J’ai tout de suite repéré la petite auto bleue. Ca n’est qu’en approchant que j’ai pu vérifier que les deux filles étaient là. J’ai ouvert le portail et rentré ma voiture. Aïcha a garé la sienne comme je le lui avais indiqué la veille. Elles sont sorties toutes les deux et sont venues vers moi avec un grand sourire. Je les ai accueillies avec le même plaisir et, ouvrant les bras, je les ai invitées à venir m’embrasser, ce qu’elles ont fait simultanément. Par contre, Aïcha a été la plus rapide à saisir ma bouche pour me rouler une pelle magnifique, aussitôt relayée par Maeva. Je les enlaçais simultanément, serrées l’une contre l’autre et contre moi. Ca commençait bien, je bandais déjà comme un âne.
Quand elles m’ont laissé respirer je leur ai demandé :
- « Dîtes-moi, les filles, vous m’embrassez super bien mais, entre vous, cela vous arrive-t-il aussi de vous embrasser ? »
- « Tu veux dire, comme on embrasse un mec ? »
- « Oui, bien sûr »
Elles ont répondu en cœur :
- « Ca va pas, non, on n’est pas des gouines ! »
- « Ca je le sais, que vous n’êtes pas des gouines, vu ce que nous avons fait ensemble. Je sais que vous appréciez le contact du mâle et une bonne queue entre les jambes, mais il ne faut pas se limiter ainsi. Les sources de plaisir sont multiples et il est dommage de vous en priver.
J’espère que, quand vous êtes seules, vous savez vous caresser et vous offrir de petits plaisirs solitaires. »
- « Pour ça, pas de problème. On n’a pas toujours un mec pour nous faire du bien »
- « Voilà la réponse, vous ne pouvez pas toujours voir un mec sous la main quand vous en avez envie, c’est pourquoi il est important de savoir vous offrir des plaisirs toutes seules et, dans le même ordre d’idée, si une autre nana vous caresse, elle peut aussi vous apporter des plaisirs non négligeables.

Ca n’est pas pour autant que vous serez des gouines et que vous n’apprécierez plus les mecs. »
- « Mouais ! . . . »
Peu convaincues, elles n’ont pas voulu me contrarier. Elles se sont embrassées, d’abord du bout des lèvres, puis Aïcha s’est décidée à glisser sa langue entre les lèvres de sa copine qui a fini par ouvrir la bouche, comme à regret. Mais l’appel du plaisir a été le plus fort et, très vite, elles ont échangé un vrai baiser sensuel qui s’est prolongé en baiser tournant quand Aïcha a laissé la bouche de Maeva pour prendre la mienne, qu’ensuite, j’ai fait la même chose avec Maeva, puis encore les deux filles.
Les trouvant bien occupées entre elles, je me suis retiré pour me positionner derrière Maeva, calant ma queue dans la raie de ses fesses avant de l’enlacer pour lui peloter les seins par dessus ses vêtements et l’embrasser dans le cou. Je me suis ensuite attaqué aux boutons de sa robe qui n’a pas tardé à tomber à ses pieds cependant que mes mains caressaient beaucoup plus agréablement ses petits seins dont les pointes érigées trahissaient son excitation. J’ai laissé Maeva pour faire la même chose à Aïcha, mes mains retrouvant avec délice sa superbe poitrine qui les emplissait si bien.
Aïcha a avancé timidement une main, puis les deux vers les seins de Maeva, les soupesant, les malaxant, pinçant les tétons. Maeva n’a pas voulu se trouver en reste et a lui a rendu ses caresses. Le spectacle de ces deux belles jeunes filles se caressant mutuellement m’a cloué sur place et ma queue bandée en était presque douloureuse tant l’excitation qu’elles me procuraient était grande.
Elles se sont regardées un instant avant de me dire :
- « Dis-donc, toi, pourquoi es-tu encore habillé alors que nous sommes nues ? »
Elles se sont tournées vers moi et l’une s’est chargée de déboutonner ma chemise cependant que l’autre me débarrassait prestement de mon pantalon. Je me suis vite retrouvé aussi nu qu’elles, la bite fièrement dressée devant les yeux d’Aïcha qui l’a aussitôt prise en main avant d’en embrasser l’extrémité du bout des lèvres.
Elle a sorti la langue pour envelopper le gland avant d’ouvrir grand la bouche pour engouffrer ce qu’elle pouvait, c’est à dire guère plus que le gland. Pendant ce temps là Maeva s’occupait de mes tétons. Bien entendu, je n’étais pas en reste et, si la position d’Aïcha ne me laissait guère d’accès à son corps, les petits seins de Maeva, par contre, s’offraient à mains.
Je n’ai pas voulu trop prolonger cette position inconfortable, et les ai entraînées dans la chambre. Aïcha s’est de suite couchée sur le dos, les jambes ouvertes en me disant :
- « Viens, j’ai envie de ta queue ! »
- « Comme tu y vas ! Nous avons tout le temps. Je te promets de te la mettre, mais je ne suis pas pressé de finir la soirée. »
J’ai quand même passé un doigt fureteur entre ses lèvres pour constater qu’elle était vraiment ouverte et trempée. Je me suis donc résolu à la satisfaire en essayant de ne pas jouir si tôt. J’ai positionné ma queue à l’entrée de sa chatte, l’ai lubrifiée dans son jus abondant avant de l’enfoncer dans son antre. J’ai demandé à Aïcha de s’occuper des seins de sa copine, ce qu’elle a, ma foi, fait de bon cœur, en y prenant très vite plaisir. Aïcha n’a pas tardé à jouir. Quand j’ai retiré ma queue elle était luisante de mouille. Je l’ai approchée de la bouche de Maeva en lui demandant de la nettoyer avec sa bouche.
Elle m’a regardé comme si je lui demandais quelque chose de dégoûtant, mais elle n’a pas osé refuser et s’est pliée de bonne grâce à ma demande.
Quand elle a eu fini, je lui ai demandé si elle avait aimé. Elle m’a avoué que oui. Je lui a lors dit qu’elle devait maintenant continuer en nettoyant le con gluant de sa copine.
- « Non, pas ça, c’est vraiment trop dégueulasse ! »
- « Comment ça, dégueulasse ? Nous sommes propres tous les deux et la seule chose que tu y trouveras c’est la jus de sa jouissance. Rien de sale, au contraire ! »
Elle m’a lancé un regard suppliant puis, voyant que je ne cèderais pas, elle s’est décidée, d’abord timidement, puis de bon cœur et enfin avec un plaisir évident.

Pendant ce temps, j’admirais le spectacle en lui caressant distraitement les fesses. Par inadvertance, mon doigt a glissé dans sa raie jusqu’à sa chatte pour la trouver elle aussi bien gluante et ouverte à souhait.
Je me suis positionné entre ses jambes et l’ai enfilée en levrette et j’ai limé doucement, d’abord, puis plus fermement. Je me sentais au bord de l’explosion et me retenais tant bien que mal, espérant qu’elle jouirait maintenant très vite. J’ai senti sur ma queue les contractions de sa chatte. Elle s’est affalée sur sa copine et j’ai enfin pu me laisser aller, m’enfonçant au plus profond pour lâcher une bordée de foutre.
Je suis resté un peu en elle, faisant encore aller et venir ma queue pour profiter encore un peu plus de ma jouissance, puis je me suis retiré. Elle s’est retournée sur le dos, un peu sonnée par sa jouissance.
Aïcha, qui avait repris ses esprits, a voulu goûter à son tour au jus de son amie qui, fortement additionné de mon foutre, coulait au long de ses cuisses. Elle a consciencieusement léché tout ce qui s’écoulait avant d’aller fouiller entre les lèvres, semblant se délecter de ce divin nectar.
Elle est ensuite venue se lover contre moi, caressant ma queue de sa petite main si douce, mais, après ce que je venais de mettre à Maeva, il me fallait récupérer. Je l’ai cajolée un peu, puis je les ai invitées à la cuisine pour reprendre des forces avec la collation que j’avais préparée à leur intention.
Après ce petit en-cas, j’avais un peu récupéré et me sentais prêt à reprendre nos distractions là où nous les avions laissées. Les filles étaient aussi en pleine forme et Aïcha, surtout, semblait insatiable. J’étais méfiant, peu confiant dans mes capacités de résistance, aussi je les ai encouragées à se caresser mutuellement. Elles se sont d’abord embrassées, debout dans la cuisine, laissant leurs mains parcourir le corps de l’autre, s’attardant qui sur les seins, qui sur les fesses. Elles ont très vite été mures pour un soixante-neuf.

Je les ai entraînées vers la chambre. J’ai fait s’allonger Maeva sur le dos, lui offrant ma pine à sucer cependant qu’Aïcha s’installait tête bêche sur sa copine et se jetait sur sa chatte comme une affamée. Je n’ai pas voulu priver Aïcha de la langue de sa copine sur sa connasse gluante. J’ai donc libéré la bouche de Maeva de ma queue et me suis mis à caresser ce que je pouvais attr du corps des deux filles avant de m’attarder plus précisément sur l’anus d’Aïcha tandis que Maeva continuait à lui l écher la fente.
De temps en temps, j’enfonçais le bout de la langue dans le trou. Ensuite, j’y ai mis un doigt puis deux en continuant de la lubrifier en y déposant un max de salive. J’ai trempé l’index dans le pot de gel afin d’en enduire copieusement le petit trou dans lequel je commençais sérieusement à envisager de glisser ma queue qui avait repris fière allure.
J’ai aussi graissé mon gland avant de le pointer sur l’anus. J’ai senti une petite résistance, me demandant si j’y arriverais réellement puis, comme par enchantement, le sphincter a laissé passer mon gland. Je me suis immobilisé pour lui laisser le temps de s’habi, puis j’ai poussé doucement, finissant par entrer ma queue entière dans le boyau culier si agréablement serré. Je l’ai sentie se décontracter et, sous la langue de Maeva qui lui polissait la chatte et ma queue qui lui labourait le fion, elle a joui dans un grand tremblement de tout son être. C’en était trop, j’ai lâché la purée dans son intestin. Je me suis retenu pour ne pas m’écrouler sur elles et me suis retiré.
Son anus refluait le surplus de mon foutre qui dégoulinait vers sas lèvres que Maeva continuait de lécher après avoir joui, elle aussi, sous la langue de sa copine.
Nous avons terminé la soirée en devisant de tout et de rien, et surtout de sexe, bien entendu. Chacun avait eu son compte et, à mon grand regret, j’ai dû leur dire que nous devrions en rester là, qu’il était impossible que nous laissions s’installer entre nous une relation durable et qu’il était temps, pour elles, de parfaire leur savoir avec d’autres mecs (et des filles aussi, pourquoi pas ?).
Elles m’ont fait promettre de nous retrouver au-moins une fois dans quelques mois, pour faire le point sur leurs avancées et nous nous sommes quittés sur un baiser tournant.
Maeva étant ma nièce, nous nous apercevons de temps en temps dans le cadre familial, mais nous évitons soigneusement tout ce qui pourrait évoquer le sexe. Je sais juste qu’elle a eu quelques petits copains. Elle semble s’épanouir, devenir plus femme, même si la nature l’a moins gâtée que sa copine. Quand à Aïcha, je ne l’ai pas revue avant au-moins six mois, profitant une fois encore d’une absence de ma femme pour nous retrouver tous les trois.
J’ai d’abord refusé que nous fassions l’amour. Je voulais avant tout qu’elles me racontent.
Pour Maeva, comme il m’avait semblé, c’était tout simple. Elle avait bien eu trois ou quatre petits copains. Elle avait couché avec eux, mais ils l’avaient laissée sur sa faim, négligeant les caresses préparatoires, aucun n’a posé sa bouche sur sa chatte, et semblant surtout pressés de rentrer leur queue dans sa chatte et limer jusqu’à, très vite, cracher leur venin.
Aïcha avait, quand à elle, eu nettement plus d’expériences. Elle a, elle aussi, couché séparément avec quelques mecs, eux aussi un peu pressés, mais qu’elle a su obliger à prendre un peu plus le temps de lui apporter du plaisir, mais surtout, elle a entraîné Alban et Jimmy dans de nouvelles balades sur des chemins écartés où ils auraient toute chance d’être tranquilles, en ayant pris soin de glisser dans son sac à dos une couverture pour être plus à l’aise.
Pour plus de clarté dans le récit, je lui laisse la parole.
A l’heure de la pause, après avoir déplié ma couverture, je n’ai pas attendu que les mecs me cherchent. J’avais trop envie. Je les ai invités à me rejoindre sur la couverture « pour plus de confort pendant la sieste ». Ils ne se sont pas fait prier et, comme j’occupais le centre, il leur restait juste une place de chaque côté. Alban s’est donc installé à ma droite et Jimmy à ma gauche, ne sachant pas si j’accepterais de continuer ce que nous avions commencé l’autre fois ou si c’était seulement pour se reposer. Me tournant vers Alban, je l’ai embrassé langoureusement. Sa langue était bonne et j’avais plaisir à jouer avec elle. J’ai avancé la main pour déboutonner sa chemisette, lui pelotant un peu les seins au passage, avant de m’attaquer à son pantalon que j’ai ouvert pour y glisser une main fureteuse, à la recherche de son membre que j’ai trouvé bien raide, même si sa queue est bien moins grosse que la tienne. J’ai fini de le déshabiller pour poser mes lèvres sur son sexe, avant de le lécher d’une langue gourmande puis d’engloutir sa pine pour une pipe que j’ai assez vite interrompue pour m’occuper de Jimmy. J’avais conscience d’être un peu salope et de le laisser sur sa faim, mais je m’occuperais de lui plus tard.
Les deux garçons, bien excités, caressaient aussi ce qu’ils pouvaient de mon corps sans oser trop me bousculer. C’est moi qui leur ai demandé de me déshabiller, ce qu’ils ont fait très vite, bien qu’un peu maladroitement. Ils n’osaient pas me caresser. C’est donc moi qui ai pris l’initiative. Je me suis agenouillée entre eux, une pine dans chaque main. Mais j’avais envie de sucer ces bonnes queues. Je me suis installée entre les jambes d’Alban, j’ai soupesé ses couilles et j’ai gobé son sucre d’orge qui me faisait baver d’envie. J’ai invité Jimmy à s’approcher de son copain et j’ai recraché la bite d’Alban pour engouffrer celle de Jimmy. J’ai ainsi sucé tour à tour les bite des deux garçons, paluchant en même temps celle qui était privée de mes service buccaux.
Suçant encore Alban, j’ai demandé à Jimmy de me faire une minette. Il s’est exécuté un peu maladroitement, mais avec une bonne volonté touchante. Je me sentais bien ouverte. La pine d’Alban était bien raide. Je me suis couchée sur lui et, saisissant sa pine entre mes doigts, je l’ai glissée dans ma cramouille baveuse. Pendant ce temps, il s’occupait de mes seins et Jimmy me caressait le cul, me léchait la raie, s’attardant sur mon anus. Je me suis alors désemboitée de la bite d’Alban. Je me suis installée à califourchon sur lui, lui tournant le dos et me suis laissée descendre doucement sur sa pine en dirigeant son dard vers ma rosette (que tu m’avais bien ouverte, la dernière fois), après l’avoir abondamment lubrifiée de ma mouille puisée à la source voisine. Jimmy m’avait bien préparée, aussi la queue d’Alban, qui est beaucoup plus fine que la tienne, n’a pas eu de difficulté à se glisser dans mon intestin jusqu’à ce que son ventre bute contre mon cul. Je me suis alors couchée contre ma poitrine et j’ai invité Jimmy à venir fourrer sa queue dans ma cramouille. J’avoue que, faire l’amour en plein air et avoir une bite dans le cul et une autre dans la chatte, c’était proprement divin, d’autant qu’Alban me pelotait les seins et que Jimmy me roulait un palot d’enfer.
Mes amants ont commencé à bouger, d’abord doucement, puis de plus en plus fermement. Je sentais leurs membres coulisser dans mes deux trous, chacun animé d’une vie propre. C’en était trop. Ma jouissance a éclaté très vite et les contractions provoquées par ce plaisir qui me prenait toute entière, ont déclenché celui de mes partenaires qui se sont vidés l’un après l’autre. Leurs jets de foutre m’ont à nouveau donné un orgasme, bien que moins puissant que le précédent. Bien qu’emplie par mes deux trous, je me sentais vidée, épuisée, incapable de faire quoi que ce soit. Mes hommes ne valaient guère mieux. Nous avons donc fait une sieste bien méritée, étroitement enlacés.
Au réveil, ils avaient encore envie. Le premier qui s’est réveillé a commencé à me caresser, puis il est venu sur moi pour me pénétrer. L’autre a pris le train en marche, joignant ses caresses à celles de son camarade avant de prendre la place que celui-ci a libérée après sa jouissance, plongeant sa queue dans ma grotte encore pleine du foutre de son prédécesseur.
Elle a terminé son récit en précisant que, depuis cette aventure, aucun des deux ne rechigne quand elle les invite à aller faire une promenade, même Jimmy qui, d’habitude, râlait toujours quand il s’agissait de marcher. La récompense espérée valait bien l’effort. »
Elle a renouvelé plusieurs fois l’opération avec eux et envisage d’ouvrir le groupe pour varier les plaisirs et, pourquoi pas, avoir encore plus de mecs pour la caresser en même temps. Mais, dans un premier temps, elle envisage plutôt de forcer les mecs à se caresser et se sucer mutuellement avant de leur autoriser l’accès à son corps.
J’étais subjugué qu’une aussi jeune fille puisse avoir autant de maturité sexuelle et autant d’expérience.
Ces récits nous avaient tellement excités tous les trois que nous avons fait l’amour longuement, partageant nos caresses, chacun devenant à son tour l’attention plus marquée des caresses des deux autres.
Je les ai laissées s’ébattre toutes les deux pour voir combien elles pouvaient avoir évolué avant de me mêler à leurs jeux. Maeva était couchée sur le dos et Aïcha, sur elle, tête bêche. Elles se broutaient mutuellement la chatte. Je me suis positionné derrière Aïcha pour l’enculer, juste au-dessus du visage de Maeva. Quand j’ai joui, mon foutre qui débordait de l’anus d’Aïcha s’écoulait dans la raie, jusqu’à sa chatte où Maeva le recueillait avec la langue.
Nous avons bien joui tous les trois et j’ai réussi à lâcher une bordée de sperme à chacune d’elle.
J’ai refusé de prévoir une autre rencontre après celle-ci, étant bien conscient de la fragilité de notre relation et ne voulant pas me laisser embarquer dans de dangereuses habitudes extraconjugales.
Nous nous sommes quittés, épuisés. Je me suis endormi peu après leur départ, heureux de ma soirée, ne regrettant qu’une chose : que ma femme ne s’ouvre pas au libertinage pour profiter comme nous de ces plaisirs certes immoraux mais combien naturels et agréables.
Maintenant, elles ont chacune un petit copain attitré. J’en suis content pour elles et je me demandais parfois s’il savait que j’avais baisé leur copine bien avant eux.
Notre dernière aventure datait d’au moins deux ans. Un soir que ma femme était absente, comme par hasard, je les ai vu arriver tous les quatre. J’ai très vite compris qu’ils avaient leurs habitudes ensemble et que les parties carrées faisaient partie de leurs plaisirs réguliers, mais je ne m’attendais pas à ce qu’ils m’invitent à partager leurs jeux. C’est pourtant ce qui est arrivé ce soir-là . . .

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